Tony Gomez est un dirigeant de sociétés, restaurants et clubs de 63 ans. En prise directe avec ses clients au quotidien, il décide de réaliser une greffe de cheveux pour soigner son apparence.
“Dans un restaurant, on doit être présentable, on était beaucoup moins à cheval sur l’image il y a 30 ans, mais maintenant c’est devenu indispensable. Tout le monde fait attention à la silhouette, à la peau, aux cheveux”.
Description du cas
Depuis tout jeune, Tony apprend à prendre soin de lui.
“Ma grand-mère m’a toujours conseillé : mets des crèmes, la peau c’est comme une chaussure, il faut la cirer tout le temps. Alors j’ai toujours fait attention.”
Seulement, sa rigueur ne va pas empêcher ses cheveux de tomber. Atteint d’une calvitie androgénétique, ou une alopécie héréditaire, son crâne est “programmé” pour se dégarnir.
“Malheureusement, les hommes sont faits ainsi, on ne peut rien faire contre la chute de cheveux.”
Pourquoi Tony a-t-il choisi de réaliser sa greffe de correction à la Maison Lutétia ?
Tony le sait pertinemment : seule la greffe capillaire peut satisfaire son envie de retrouver ses cheveux. Une vingtaine d’années plus tôt, il choisit une clinique au hasard et réalise une FUT (Follicular Unit Transplantation), sans se douter des nombreux inconvénients liés à cette technique, comme un manque de naturel, de densité ainsi qu’une grande cicatrice.
“Quand j’ai commencé à perdre mes cheveux, j’ai voulu être l’un des pionniers des implants capillaires, mais le résultat n’était pas au rendez-vous. Ce n’était pas extraordinaire, donc j’ai abandonné. Je me suis résigné, en espérant que les technologies allaient avancer. C’est le cas, et c’est pour cette raison que je suis là aujourd’hui !”
La méthode DHI est en effet la plus efficace en termes d’implants capillaires. Elle évolue au gré des avancées scientifiques et technologiques pour toujours demeurer première sur l’innovation.
“Les résultats sont incroyables, ce serait dommage de s’en priver”
La greffe de cheveux de Tony à la Maison Lutétia
Une session GIGA est préconisée dans le cas de Tony, avec une implantation concentrée au niveau de la zone A et B, c’est-à-dire sur la zone frontale ainsi qu’entre le sommet et le sommet antérieur, pour lui apporter de la coiffe et de la densité. Avant de procéder à la greffe de cheveux, un rasage “Marin Shave” est réalisé à la Maison Lutétia, une coupe qui facilitera le travail du médecin, sa zone donneuse ayant été affectée par sa précédente intervention.
Tony s’étonne de ne ressentir aucune douleur lors de l’extraction, et apprécie le confort de la salle d’intervention.
“Sincèrement, je passe un bon moment. On me demande même d’arrêter de rire pour la vidéo ! C’est agréable, on regarde la télévision… J’ai l’impression d’être en vacances”
Lui qui a l’habitude de vivre à cent à l’heure, il profite de cette pause pour se détendre.
“C’est plus un moment de repos et de plaisir que de douleur !”
Au total, 1120 follicules, ou 2523 cheveux, ont été implantés. Tony a un ratio de 2,25 cheveux par follicule, avec une majorité de follicules triples. Ceux-si servent à créer la densité qui lui fait défaut, avec un mouvement capillaire naturel.
Tony est très satisfait des résultats de sa greffe capillaire.
La repousse est déjà bien entamée ! Sa zone avant est densifiée, il n’est déjà plus possible de voir son crâne au travers des cheveux. Et sa zone B est également recouverte par de nouveaux cheveux ! Le mouvement capillaire est si naturel qu’il est impossible de dissocier les cheveux naturels des greffés ! Les implants capillaires le valorisent, et ce n’est pas fini, puisque les résultats continuent à évoluer jusqu’à 1 an après l’intervention.