Il décide donc deux ans plus tôt, de réaliser sa première greffe capillaire en Turquie, en choisissant une clinique au hasard.
“Le gamin de 18 ans que j’étais ne savait pas forcément à qui s’adresser, pourquoi, et du coup j’ai pris un peu les premiers qui sont tombés, ceux que tu trouvais en premier sur Internet”.
Malheureusement, Tristan ne se rend compte qu’après son intervention que le centre capillaire étranger, qui prétend réaliser des implants capillaires DHI, a recours à de la publicité mensongère, la méthode DHI étant standardisée et brevetée. “En fait, il s’agissait d’une hair clinic turque improvisée”. Quelques mois plus tard, Tristan se rend compte que les résultats ne sont pas à la hauteur de ses attentes.