De nombreux hommes sont ainsi touchés par une perte anormale et définitive de leurs cheveux. Environ 13 % des Français déclarent être atteints de calvitie. Et nombre d’entre eux vivent mal cette situation. En effet, la chevelure d’un homme est un symbole de sa force, sa jeunesse, et sa confiance en lui. Par conséquent, la calvitie occasionne bien souvent chez les hommes un complexe physique, une perte de l’estime de soi, allant parfois jusqu’à un mal-être profond. Heureusement, il existe des solutions pour lutter contre la perte de cheveux et pour corriger la calvitie, même lorsque celle-ci est à un stade avancé.
Le mot « alopécie » vient du grec « alopex » signifiant « renard ». C’est par analogie avec l’abondante chute annuelle de la fourrure de ces animaux au début du printemps, que le terme « alopécie » a été choisir pour désigner la perte des cheveux.
Le terme « calvitie » désigne l’absence totale ou partielle de cheveux. C’est le mot qu’on utilise pour désigner l’état d’une personne chauve. La calvitie est le résultat de ce que l’on appelle en dermatologie l’alopécie, un phénomène qui se caractérise par une perte importante et continue de cheveux ou de poils. Un être humain possède entre 100 000 et 200 000 cheveux et il en perd naturellement une centaine en moyenne par jour. On parle d’alopécie quand cette perte dépasse les 100 cheveux tombés par jour et qu’elle s’étale dans le temps.
La calvitie masculine peut se manifester à tous les âges, dès l’adolescence. À l’âge adulte, plus les années passent, plus un homme risque d’être atteint de calvitie. Entre 20 et 30 ans, l’alopécie androgénétique masculine touche déjà 1 homme sur 4. Chez les quarantenaires et les cinquantenaires, la tendance se confirme : 1 homme sur 2 souffre de calvitie.
L’hérédité est la principale cause de calvitie chez l’homme, ou alopécie androgénétique masculine. Dans ce cas, les cellules du cuir chevelu, des follicules pileux et de la fibre capillaire développent une sensibilité aux hormones androgènes, c’est-à-dire les hormones masculines telle que la testostérone.
Le stress, le tabac ou les carences alimentaires en vitamine B, fer, zinc, magnésium et acides aminés de la kératine, peuvent provoquer une chute de cheveux chez l’homme, comme un effluvium ou autres types d’alopécie non héréditaire, mais pas une calvitie. D’autre part, un dérèglement hormonal est aussi un facteur d’influence sur la santé capillaire et peut provoquer une lourde perte de cheveux.
Les autres formes d’alopécie chez l’homme peuvent être dues à un traitement en cours, comme la chimiothérapie, ou encore à des problèmes de peau, perturbant le cycle de vie de l’ensemble du système pilaire et de l’écosystème capillaire. Une chute de cheveux localisée peut enfin être causée par une cicatrice (alopécie cicatricielle), ainsi que par des cheveux trop tirés ou serrés (alopécie de traction).
Différentes études scientifiques cherchent à expliquer les causes de la calvitie masculine. En analysant le patrimoine génétique d’un individu, il serait alors possible de prédire sa propension à perdre ses cheveux et à devenir chauve. Plusieurs dizaines de groupes de gènes ont été identifiés, lesquels proviennent du père, mais aussi de la mère. Il reste pour autant difficile de déterminer lequel des deux parents transmettrait les « gènes de la calvitie », même si, depuis de récentes études, c’est le patrimoine génétique maternel qui serait en cause.
La calvitie héréditaire se traduit par une chute progressive des cheveux, entraînant d’abord une diminution du volume et de la densité de la chevelure dans certaines zones, de plus en plus clairsemées.
La calvitie masculine se caractérise ensuite par un dégagement progressif de ces parties affaiblies du cuir chevelu, souvent au niveau des golfes temporaux et frontaux – au-dessus du front et des tempes, du sommet antérieur jusqu’au vertex – en haut du crâne. Dans ces zones dégarnies, la phase de croissance des cheveux est raccourcie et accélérée, au point que les follicules pileux épuisent leur cycle de vie et que les cheveux ne repoussent plus.
Quand la perte de cheveux est généralisée, on parle d’alopécie diffuse. Elle est en général le signe de troubles de l’organisme, dus par exemple à un stress intense, une chimiothérapie, un problème endocrinien… Dans ce cas-là, les implants capillaires ne constituent pas la meilleure solution. Il faut se diriger vers la micropigmentation du cuir chevelu.
La chute de cheveux saisonnière est quant à elle normale et naturelle. A chaque changement de saison, au printemps ou à l’automne, nous perdons plus de cheveux que le reste de l’année, parfois par poignées. Il s’agit d’une forme d’alopécie réactionnelle et passagère.
Les premiers signes de la calvitie masculine se manifestent en général à 35 ou 40 ans. Mais l’alopécie peut survenir dès l’âge de 20 ans, parfois même dès l’adolescence. On parle alors de calvitie précoce. Elle est le plus souvent héréditaire. Sur des hommes jeunes, la calvitie peut être particulièrement mal vécue. Heureusement, il existe différents traitements capillaires pour accompagner ce type de calvitie.
La calvitie naissante correspond aux premiers stades d’évolution tels qu’ils sont caractérisés par l’échelle de Norwood-Hamilton. Des tempes qui se dégarnissent, un front qui prend de l’importance, une tonsure clairsemée sont les signes d’un début de calvitie. Couper ses cheveux peut être une solution pour dissimuler et assumer ce début de perte de cheveux. Mais cela n’enrayera pas le phénomène. L’utilisation de Minoxidil peut ralentir la chute, il est également possible de réaliser des traitements de MésoLED capillaire et ExoLED™.
L’alopécie de traction est quant à elle le résultat de coiffures excessivement serrées ou tirées. La tension exercée en permanence sur les cheveux détruit les chaînes de kératine et fragilise les tiges pilaires. Les cheveux deviennent fragiles, se cassent. Et sous le cuir chevelu, les racines se détachent de leur follicule pileux.
L’alopécie androgénétique est essentiellement d’origine hormonale. Elle serait entre autres liée au taux d’hormones mâles. La testostérone est la principale hormone androgène. Un dérivé de cette hormone appelée DHT (dihydrotestostérone) agit sur les follicules pileux et contribue à accélérer la perte de cheveux. D’autres hormones comme l’épitestostérone seraient également responsables de l’alopécie androgénétique.
Nous ne sommes pas tous égaux face à la calvitie. Chaque homme présente une sensibilité différente à la DHT ; et cette sensibilité est en partie génétique. Chez les sujets prédisposés génétiquement, la DHT va emballer le processus de fabrication des cheveux et un véritable cercle vicieux s’installe. Les cheveux se renouvellent de plus en plus vite, les follicules s’épuisent, les cheveux deviennent de plus en plus fins jusqu’à n’être plus qu’un duvet clair sans aucun pouvoir couvrant. Pour autant, la science n’a pas encore cerné exactement les gènes responsables de l’alopécie. Ainsi, ce n’est pas parce que son père est chauve qu’un homme sera atteint de calvitie et inversement.
Si l’hérédité et les hormones sont les principaux facteurs déclencheurs de l’alopécie, d’autres causes entrent en ligne de compte. Une perte significative de cheveux peut ainsi s’expliquer par l’anxiété, le stress ou un choc émotionnel. On distingue également des facteurs aggravants de la calvitie :
● Des carences en vitamine B, magnésium, zinc, fer notamment
● Un excès de mauvais cholestérol
● La prise de certains médicaments
● Certaines thérapies (chimiothérapie, radiothérapie…)
● Le tabac
● Des pathologies telle que la pelade
On distingue différents stades d’évolution de la calvitie masculine. Le degré de progression de la calvitie est mesuré sur l’échelle de Norwood-Hamilton. Elle met en relief 7 stades d’alopécie, le dernier étant caractérisé par l’absence totale et définitive de cheveux sur la partie frontale antérieure, sommet antérieur ainsi que le vertex. Seules les tempes et la partie basse de la nuque (couronne hippocratique) sont encore garnies de cheveux. C’est donc en fonction de ces critères que nous pouvons établir un diagnostic précis et déterminer un plan de traitement capillaire adapté.
Le cycle de vie du cheveu
Le cycle de vie d’un cheveu se déroule en trois phases successives sur plusieurs années :
● La phase anagène : c’est la période de croissance, elle concerne 85 % de nos cheveux et dure entre 2 à 5 ans. Les cheveux poussent de 2 mm par semaine environ.
● La phase catagène : c’est une courte période, de 15-20 jours environ, pendant laquelle le cheveu cesse sa croissance. La racine remonte vers l’épiderme, mais le cheveu reste attaché à son follicule pileux. Seuls 3 % de nos cheveux sont en phase catagène.
● La phase télogène : pendant 6 à 7 mois, environ 12 % de nos cheveux sont au repos. Ils se détachent du follicule pileux pour ensuite tomber naturellement. Sous la peau, un nouveau cheveu peut prendre racine dans le follicule et le cycle recommence.
Dans une vie, nous connaissons environ 25 cycles de ce type.
La Maison Lutétia déploie un ensemble de solutions résultant de 50 ans de recherche capillaire pour traiter la calvitie chez l’homme.
Afin de soigner l’alopécie androgénique masculine, il est nécessaire de consulter un spécialiste du cheveu afin de mettre en place une solution adaptée. Au sein de la Maison Lutétia à Paris, nos experts accueillent, conseillent et soignent les patients souffrant de calvitie masculine. Nos médecins spécialistes proposent le traitement capillaire pour homme le plus approprié à chaque forme d’alopécie, afin d’arrêter la chute de cheveux, régénérer les zones dégarnies et activer le processus naturel de repousse.
Nos traitements capillaires pour hommes nous permettent de répondre à chaque besoin capillaire, quel que soit le stade de votre alopécie androgénétique, en toute discrétion et sans douleur.
Les traitements MésoLED capillaire et plaquettaire en complément
Notre solution capillaire complémentaire MésoLED, par mésothérapie et biomodulation, régénère, nourrit et hydrate en douceur le cuir chevelu, pour stimuler la repousse et revitaliser la chevelure.
D’une part, la mésothérapie capillaire consiste à nourrir directement l’écosystème du cheveu avec un cocktail de vitamines, d’acide hyaluronique et de nutriments essentiels à la bonne santé du cuir chevelu, des bulbes, des follicules et de la fibre capillaire.
D’autre part, sous l’action régénératrice de la lumière LED, la luminothérapie capillaire revitalise vos cheveux. Grâce aux effets combinés de ces deux procédés, notre traitement capillaire pour homme MésoLED offre une chevelure plus dense et plus forte.
Pour ce qui est de la MésoLED plaquettaire, ce traitement consiste à prélever le plasma directement issu du corps du patient à partir d’une prise de sang. Il est isolé des globules rouges et blancs, en vue de le réinjecter dans le cuir chevelu. Reconnues pour leurs propriétés réparatrices et régénératrices, les injections de plasma permettent de ralentir la chute de cheveux et d’activer la repousse.
La micropigmentation du cuir chevelu
Alternative aux traitements capillaires, la micropigmentation du cuir chevelu consiste à insérer des pigments dans la peau sur les zones dégarnies ou clairsemées de la chevelure, afin de reproduire visuellement l’apparence d’une implantation capillaire. De nombreux hommes chauves ou aux cheveux très courts optent pour cette solution, dont les résultats sont naturels.
Cette technique est idéale pour apporter de la densité et une impression de volume à des zones clairsemées, mais elle ne remplace pas une greffe capillaire.
Les implants capillaires avec la méthode DHI
Aujourd’hui, la méthode d’implants capillaires DHI est la technique de greffe de cheveux la plus évoluée et la plus douce, pour des résultats durables et un confort optimal pendant l’intervention.
Au niveau de la zone donneuse, nos médecins hyperspécialisés prélèvent soigneusement des cheveux, follicule par follicule, sans douleur ni incision et donc, sans laisser de cicatrice. Ces greffons sont ensuite réimplantés, un à un, en zone dégarnie ou clairsemée, afin de retrouver une chevelure dense et naturelle. Les résultats sont visibles dès les premiers jours, mais la repousse commence réellement dès 3 mois après l’intervention, et le résultat final sera apprécié après environ 12 mois.
Les gestes simples du quotidien
Indépendamment ou en marge d’un traitement capillaire pour homme, une bonne hygiène de vie, sans stress, ainsi qu’une alimentation saine sont les conditions nécessaires à la santé des cheveux. Pour prévenir et ralentir la chute de cheveux, suivez ces quelques conseils :
● Adopter une alimentation équilibrée, saine et variée, en privilégiant la vitamine B (poisson, œufs, abats, produits laitiers, légumes secs ou verts, noisettes…)
● Prendre soin de son cuir chevelu : faire un massage avant shampoing pour activer la circulation sanguine et favoriser la repousse, utiliser des soins doux et adaptés (produits anti-chute), rincer les cheveux à l’eau tiède et les sécher délicatement, sans frotter ou essorer…
● Combler les besoins en minéraux : par exemple avec des compléments alimentaires riches en calcium, magnésium, zinc…
● Eviter les produits trop agressifs, protéger vos cheveux du soleil.
Les traitements cosmétiques
Différentes solutions capillaires sont commercialisées pour limiter ou arrêter la chute de cheveux chez l’homme. Un shampoing nutritif, une lotion revitalisante, des ampoules, une huile revigorante ou gélules anti-chute de cheveux peuvent être utiles en complément, pour redonner vie à une chevelure abîmée, stimuler un cuir chevelu affaibli ou renforcer des cheveux cassants. Cependant, ce type de soins capillaires secondaires est insuffisant pour stopper une chute de cheveux excessive et prolongée chez l’homme.
Les traitements médicamenteux
Il existe aujourd’hui plusieurs médicaments qui ralentissent la chute des cheveux et corrigent la calvitie. Tous ne sont pas sans effet secondaire ; c’est le cas notamment du finastéride (Propecia® ou Proscar®). Le minoxidil, appliqué localement sous forme de sérum ou de mousse, est un vasodilatateur qui augmente le flux sanguin et permet d’oxygéner et de nourrir les follicules pileux, favorisant ainsi la croissance et ralentissant la chute.
L’un et l’autre peuvent être associés dans le cadre d’un traitement médicamenteux contre la calvitie. Ils peuvent aussi être prescrits en complément d’une greffe de cheveux. Dans tous les cas, l’avis d’un médecin est obligatoire.
Le tatouage de crâne
Egalement appelé tricopigmentation, ce tatouage du cuir chevelu peut aider un homme à assumer sa calvitie en donnant l’illusion d’un crâne rasé, grâce au dessin de petits points sur l’ensemble de la tête. La micropigmentation permet d’harmoniser la chevelure discrètement, pour donner un effet de densité grâce au jeu d’ombres. Cette solution offre un résultat naturel et durable.
La calvitie peut être une source de complexe pour de nombreux hommes. Et plusieurs personnalités, françaises ou internationales, ont eu recours à la greffe de cheveux. C’est le cas par exemple de Rafael Nadal, de Florent Pagny, de Marc-Olivier Fogiel, de Nicolas Cage, de Laurent Baffie, d’Evan Fournier ou encore, de Sam Smith. Désormais, la médecine esthétique se démocratise. Vous aussi, vous pouvez faire appel à la Maison Lutétia et sa méthode exclusive pour bénéficier de soins sur mesure et réalisés par des médecins experts.
L’hérédité est la principale cause de calvitie chez l’homme, ou alopécie androgénétique masculine. Dans ce cas, les cellules du cuir chevelu, des follicules pileux et de la fibre capillaire développent une sensibilité aux hormones androgènes – les hormones masculines.
Le stress, le tabac ou les carences alimentaires en vitamine B, fer, zinc, magnésium et acides aminés de la kératine, peuvent provoquer une chute de cheveux chez l’homme, comme un effluvium, ou une alopécie non héréditaire, mais pas une calvitie. D’autre part, un dérèglement hormonal est aussi un facteur d’influence sur la santé capillaire et peut provoquer une lourde perte de cheveux.
Les autres formes d’alopécie chez l’homme peuvent être dues à un traitement en cours, comme la chimiothérapie, ou encore à des problèmes de peau, perturbant le cycle de vie de l’ensemble du système pilaire et de l’écosystème capillaire. Une chute de cheveux localisée peut enfin être causée par une cicatrice – alopécie cicatricielle, ainsi que par des cheveux trop tirés ou serrés – alopécie de traction.
La calvitie de l’homme peut se manifester à tous les âges, à partir de l’adolescence pour les plus jeunes. À l’âge adulte, plus les années passent, plus un homme risque d’être atteint de calvitie. De 20 à 30 ans, l’alopécie androgénétique masculine touche déjà 1 homme sur 4. Chez les quarantenaires et les cinquantenaires, la tendance se confirme sérieusement, avec 1 homme sur 2 souffrant de calvitie.
Différentes solutions capillaires sont commercialisées pour limiter ou arrêter la chute de cheveux chez l’homme. Un shampoing nutritif, une lotion revitalisante, des ampoules ou gélules anti chute de cheveux peuvent être utiles en complément, pour entretenir une chevelure abîmée, stimuler un cuir chevelu affaibli, renforcer des cheveux cassants. Cependant, ce type de soins capillaires secondaires est insuffisant pour stopper une chute de cheveux excessive et prolongée chez l’homme.
Afin de soigner l’alopécie androgénique masculine, il est nécessaire de consulter un médecin spécialiste du cheveu et du système pileux, afin de mettre en place une solution adaptée et professionnelle.
Indépendamment ou en marge d’un traitement capillaire pour homme, une bonne hygiène de vie, sans stress, ainsi qu’une alimentation saine, à base d’aliments riches en vitamine B, fer, zinc et magnésium, sont évidemment les conditions nécessaires à une bonne santé capillaire.
Nos experts accueillent, conseillent et soignent les patients souffrant de calvitie masculine, au sein de la Maison Lutétia DHI à Paris. Nos médecins spécialistes proposent le traitement capillaire pour homme le plus approprié à chaque forme d’alopécie, afin d’arrêter la chute de cheveux, régénérer les zones dégarnies et activer le processus naturel de repousse.
Perdre ses cheveux en nombre limité est tout à fait normal et naturel pour un homme. En perdre de façon conséquente, à un rythme effréné de plus d’une centaine par jour, peut en revanche être un signe de calvitie masculine. De nombreux hommes sont ainsi touchés par une perte anormale et définitive de leur cheveux, ce qui peut être difficile à vivre.
La chevelure d’un homme est un symbole de sa force, sa jeunesse, sa virilité, sa fierté masculine. Par conséquent, la calvitie occasionne bien souvent chez les hommes un complexe physique, une perte de confiance en soi, allant parfois jusqu’à un mal-être profond.
Il existe différents types d’alopécie masculine, nom scientifique de la perte des cheveux. La plus fréquente chez l’homme est la calvitie, ou alopécie androgénétique héréditaire. Elle se traduit par une chute progressive des cheveux, entraînant d’abord une diminution du volume et de la densité de la chevelure dans certaines zones, de plus en plus clairsemées.
La calvitie masculine se caractérise ensuite par un dégagement progressif de ces parties affaiblies du cuir chevelu, souvent au niveau des golfes temporaux et frontaux – au-dessus du front et des tempes, ou du vertex – en haut du crâne. Dans ces zones dégarnies, la phase de croissance des cheveux est raccourcie et accélérée, au point que les follicules pileux épuisent leur cycle de vie et que les cheveux ne repoussent plus.
L’échelle de Norwood-Hamilton permet de classifier les différents stades d’évolution de la calvitie chez l’homme. En fin de processus d’alopécie androgénétique masculine, tous les cheveux de la partie supérieure du crâne sont définitivement tombés. La chevelure restante ne couvre plus que la partie basse de la nuque et des tempes. Heureusement, des traitements anti calvitie masculine existent pour les hommes qui en souffrent.